Le travail méticuleux l’ennuyant, il intervient sur la toile rapidement, sans pourtant jamais obtenir la justesse recherchée. Les couches s’accumulent jusqu’à l’obtention d’une certaine intensité.
C’est une fascination pour ses modèles qui le motive. Il cherche à les peindre comme ils sont vraiment, c’est-à-dire changeants et en mouvement. «Une brique se définit par sa forme, un humain par son mouvement», dira-t-il.
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